Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Directus et sinister

22/10/2009 14:26

Directus et sinister


Directus et sinister ou de l'âne de Buridan à l'homo politicus gallus

 

Genre : essai 

Auteur : Jihel 

Editeur : Amalthée 

Date de parution : juillet 2009 

ISBN : 9782310002639 

 

Présentation 

Un ouvrage politiquement très incorrect qui dénonce sans ménagements les dérives féodales et financières de la décentralisation, le prêt à penser et le mélange des genres mis au service du carriérisme politique. 






Bien entendu... c'est off

22/10/2009 14:00

Bien entendu... c'est off


Bien entendu ... c'est off

Ce Que Les Journalistes Politiques Ne Racontent Jamais

de Daniel Carton 

 

Présentation

Dans un avion qui le ramène de La Réunion , Jospin confie ce qu'il pense réellement de Chirac. Rapporté, le propos suscite la stupeur de celui qui vient de le proférer :
" C'était off. " Les qualificatifs désobligeants appartenaient à cette litanie de confidences que les journalistes écoutent mais ne doivent pas répéter. " Off " les guérillas entre ministres, Ferry contre Darcos, Mer contre Lambert. " Off " Michel Rocard, l'homme du " parler vrai " caché dans le jardin de l'Elysée. " Off " aussi les journalistes qui prêtent leur plume à l'un ou à l'autre et qui cornaquaient Noir ou Tapie.
Au fil de sa carrière de journaliste politique à La Voix du Nord, La Croix , Le Monde et Le Nouvel Observateur, Daniel Carton a relevé nombre d'exemples de cette connivence intéressée qui voit le silence des uns payé par les services des autres : un logement, des voyages, des places à l'Opéra ou à la Comédie-Française. Cette complicité faite de bronzage en commun sous le commode prétexte d'"universités d'été ", voire plus si affinités, et d'une subtile pratique du tutoiement scelle le pacte qui unit " la France d'en haut ".
Daniel Carton, pour sa part, a choisi de se situer délibérément du côté de cette " France d'en bas " sans cesse manipulée et qui n'a pas le droit de savoir ce qui se chuchote " off ". La politique comme on ne la raconte pas.
 

 

Auteur : Daniel Carton

Editeur : Albin Michel

Genre : Politique

Collection : Essais Doc

Date de parution :

EAN13 : 97822261 34691






Liquidation Totale

22/10/2009 12:57

Liquidation Totale


Ne manquait pas la diffusion du film d'Hélène Desplanque, "Liquidation totale'. Vous y verrez les témoignages sur les temps forts du combat que menèrent 205 salariès, "les Samsonites" contre leur puissant employeur américain. Une illustration parmi d'autres (Sublistatic, Métaleurop...) des dégâts qu'a engendré la mondialisation et l'ouverture des frontières européennes sur notre territoire.

"Liquidation totale", samedi 24 octobre à 15h25 sur France 3.

PW






Sécurité Sociale : Euthanasie passive

22/10/2009 09:23

Sécurité Sociale : Euthanasie passive


Par François MORVAN - lundi 5 octobre 2009
 
Avec une prévision de 18 à 20 milliards d’euros pour 2009, le déficit “abyssal” de la Sécurité Sociale prend des allures de trou noir sidéral. Mais alors qu’il suscitait autrefois des commentaires guerriers - suivis de recettes impuissantes - de tous les gouvernants depuis trente ans, voici pour la première fois les mêmes nous expliquer en substance que ce n’est peut-être pas si grave, en qu’en tout cas, en temps de crise économique globale, il n’est pas l’heure de mettre du sel sur les plaies. Voilà de quoi nous mettre au contraire la puce à l’oreille.
Car si l’on compare ce déficit avec les sommes potentiellement ou réellement englouties dans le sauvetage des banques, (plus de 300 milliards d’euros de garanties bancaires de l’Etat !) la balance peut paraître finalement rassurante. Mais les Françaises et les Français sont désormais payés -si l’on peut dire ! - pour savoir qu’on ne demandera aucun compte sérieux au système financier en faillite qui n’a comme obsession que de tout continuer comme avant, alors que tôt ou tard le peuple devra répondre des déficits “sociaux”.
La vérité est que l’oligarchie au pouvoir a renoncé. De leur côté, les assurances et les fonds de pension sont dans les starting-blocks pour se substituer à la sécurité sociale collective et aux hôpitaux publics. De l’autre, les “politiques”, quand ils ne sont pas les complices directs des premiers, ont comme sur le reste jeté tout courage aux orties : la réforme en profondeur du système de santé, comme celle de l’Education Nationale, exigerait de s’affronter aux corporatismes qui sont autant des lobbys électoraux. La convergence des intérêts et des démissions nous annonce qu’on laisse le malade mourir d’hémorragie.
Bien entendu, le déficit de 2009 est aggravé par la crise des recettes, que les mêmes responsables saisis soudainement de fatalisme ont tout fait pour provoquer. Mais il s’ajoute à un déficit cumulé structurel qui s’est lui constitué en période de croissance, même ralentie.
Les causes en sont bien connues. Il y a d’abord un système de protection sociale qui continue à peser bien davantage sur les revenus du travail que sur ceux du capital. Il y a ensuite le mythe maintenu d’une médecine dite “libérale” qu’on pousse sans cesse à choisir la voie de tarifs libérés des contraintes du système de protection solidaire et collectif. Il y a l’impossible réforme des hôpitaux publics, passés en quelques années d’un mode de gestion soviétique à une fuite en avant où ne compte plus que l’objectif de l’équilibre des comptes quel qu’en soit le prix sur le moyen terme. Il y a l’incapacité à repenser l’organisation des soins dans un monde où le boom du troisième et du quatrième âge, la chronicité des affections graves, devraient conduire à restructurer complètement l’offre des soins qui reste centrée comme il y a quarante ans sur l’aigu et sur l’hospitalisation à la moindre complication.
Les Français doivent le savoir : l’addition qu’on leur présente soudainement comme virtuelle leur sera présentée cash à la première occasion. On viendra alors leur expliquer qu’il faut changer le système, renoncer au ciment républicain que sont le système hospitalier public et la sécurité sociale collective. On leur proposera alors comme le seul choix le système américain d’assurance individuelle que Barack Obama ne parvient pas à réformer : un tiers de la population consommant 60% des ressources, un tiers s’en dépêtrant comme il peut, et le reste laissé à lui-même avec des indices sanitaires qui rejoignent parfois ceux du Tiers-Monde.
Une autre voie est possible : la mobilisation des professionnels, la justice sociale dans les sources de financement, une gestion dynamique des hôpitaux qui unisse les directeurs et les soignants dans une même cogestion. La protection sociale, le système de santé, seront au cœur des choix de société dans les dix ans qui viennent. Seule une volonté républicaine forte appuyée sur le peuple peut faire face au défi





S'ils savaient à Paris...

22/10/2009 09:02

S'ils savaient à Paris...


S'ils savaient à Paris...
Ce que la France d'en haut ne voit plus
de Daniel Carton
 
Résumé du livre
L'auteur de cet ouvrage se penche sur le monde de la politique et observe à la loupe le petit monde des cabinets et des palais officiels. Un monde d'imposteurs. Daniel Carton pointe du doigt ces hautes sphères dans lesquelles se meuvent les acteurs de ce milieu conformiste et autiste. Une exploration qui conduit l'auteur à effectuer le constat suivant : les français valent mieux que leurs dirigeants. Ils savent qu'à Paris on les prend souvent pour des imbéciles. Mais s'ils savaient, dans la France d'en haut, ce qu'on pense vraiment d'eux... Un regard décapant, et finalement optimiste, sur un pays où il fait bon vivre, malgré les efforts des élites pour nous gâcher la vie. 
 
Avis
Daniel Carton, revisite la politique d’un regard curieux et amusé. Il en conclut que les français valent beaucoup mieux que leurs dirigeants autistes et conformistes. Les français ont depuis longtemps compris qu’ils sont pris pour des imbéciles par cette caste prétentieuse qui elle, en revanche, ignore tout de ce que pensent vraiment les français, à commencer sur eux même. 
 
Auteur : Daniel Carton  
Editeur : Albin Michel  
Genre : politique  
Date de parution : 02/03/2005
EAN13 : 9782226158550





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